Quand je prends une photo, et que je la traite ensuite en post-production, je ne sais pas toujours en avance où cela va me mener. Cette photo en est le bon exemple : je me suis laissé entrainer par l'image elle-même, pour en obtenir une représentation d'un paysage inerte plongé dans une atmosphère intenable et toxique, comme sur Venus.
mai 24
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